● The more sexy gay man is back || GOOD

Nom : Christians Prénom : Brennan Tes études : Il est étudiant en médecine depuis quatre ans. Ton groupe : Les Grosses Têtes. Pourquoi ce choix : Brennan est un homme remplit à 87% de sérieux. Dès son plus jeune âge, déjà. Au lieu d'aller courir à droite à gauche et faire des bêtises avec les garçons de son âge, celui-ci préférait lire des livres, écouter de la musique, regarder des émissions parlant de sujets diverses et intellectuels tels que la vie des agriculteurs, l'économie dans notre pays, ect. C'est d'ailleurs peu après, comme la majorité des jeunes enfants il est vrai, qu'il se prit de passion pour la médecine, avec pour projet d'être medecin. Vous savez, soigner des gens, rencontrer de nouvelles choses tous les jours, avoir un contact humain, ect? Avant la F.A.C : {5 lignes minimum où tu peux raconter les projets que tu avais en tête ; tes passions etc ...} Quels étaient les projets du jeune homme avant la FAC? C'est simple, ses projets d'avant sont les mêmes que ceux de maintenant: La médecine. Il a toujours travaillé très dur tous les jours durant toutes ces années afin de rester parmi les meilleurs et d'avoir plus de chances d'être accepté à l'université de la Ivy League. Il ne vivait plus que par ça. Mais mis à part la médecine, Brennan a petit penchant pour les oeuvres de bienfaisance organisées par sa mère. L'humanité, il connait et en est fier. Peu de personnes qu'il a connu on possédait ce sens de l'entraide et de la solidarité. Quand il a du temps libre, il n'hésite pas à faire du bénévolat dans les actions qui l'intéressent. Le fait qu'il n'ai pas beaucoup d'amis ne veut pas dire que notre bonhomme n'aime pas les relations humaines!

QUI SUIS JE;

Ton Histoire ; C'est dans une petite ville du Connecticut, à Hartfort et par un clair et doux matin de mai 1987 que Brennan a vu le jour au sein d'une famille tout ce qu'il y a de plus normal. Il eut la chance d’être conçut et élevé avec un amour débordant – parfois étouffant il doit le reconnaître – par deux personnes qu’il n’a cessé d’admirer durant toute son enfance. Sa mère, Anne-Mary Christians était de ce genre de femme qui fait sans arrêt des efforts énormes afin de faire régner un bonheur sincère au sein de son entourage. Grâce à sa petite taille, son côté rondelette, ses fossettes plein le coin des lèvres, et son doux sourire, elle faisait également partie des personnes à qui ont donnerait le bon Dieu sans confession. D’aussi loin que remontent ses souvenirs, Any - comme on la surnommée dans la famille – a été le prototype quasi parfait de la maman idéale. Du moins de sa notion à lui ! Après il était bien entendu conscient que certains auraient pu la trouver trop envahissante, trop toujours de bonne humeur, trop compréhensive, ect. Ce fut grâce à elle qu’il apprit l’humanité. Etant enfant, cette qualité lui a posé de nombreux problèmes, étant alors vu comme un gosse tellement solitaire qu’il met tout en œuvre pour aider les autres, et par conséquent pour se faire aimer lui-même. S’il en a beaucoup souffert étant petit, son mal être s’est accrût au fil des années. Son père, quand à lui, était le contraire de tout cela. John Ulrich Christians. De grande taille, une forte carrure, un visage fermé à toute expression. Brennan a toujours eu des sentiments mêlés en ce qui le concernait : Peur ? Admiration ? Gêne ? Désir d’être comme lui ? Il n’aurait su le dire. Même encore aujourd’hui. Ce fut par lui que le jeune homme apprit l’art d’être honnête, ambitieux, maître de ses émotions. Ce fut par lui également qu’il apprit à se refermer sur lui-même afin de se protéger. Chose qui lui fut très utile lors du décès de sa petite sœur…

Il s’en souvient comme si c’était hier. Sa mère, presque à la fin de ses possibilités de procréation, avait exprimé le vœu d’avoir un autre enfant auprès de son père. Elle disait que jusqu’ici, tout ce qu’elle avait entreprit était un succès indiscutable, et qu’elle voulait un autre type de réussite avant de se poser. Brennan avait alors quinze ans, et sa mère quarante-sept. Les risques étaient élevés, tous en étaient conscients. Mais la détermination de ce petit bout de femme était telle que le grand avocat lui céda. Bren’ se souvient de toutes ces nuits où il les entendait tenter, sans relâche, de concevoir. Puis le fruit de toutes ces tentatives arriva enfin... Après neuf mois de stress, d’angoisse et d’inquiétude. Brennan avait eu le privilège de pouvoir la nommée. Elle, sa sœur… Cet adorable petit poupon rose, tétant goulûment le sein de sa génitrice. C’est après mille réflexions qu’il décida de l’appeler Jill Lucy Christians. Les années qui suivirent sa naissance pouvaient être synonymes de bonheur pur et sincère. Notre jeune homme se révéla être un grand frère exemplaire, Any une mère tendre et attentive, et John un père protecteur et ferme. De nourrisson Jill passa à petite fille. De longs cheveux blonds bouclés comme ceux de sa mère, les mêmes fossettes et caractère que celle-ci, mais le regard et le sourire du père et du fils. Tout la prédestinait à une vie simple, heureuse. Et pourtant… Ce fut un vingt et un janvier que la petite poupée fut prise d’une violente fièvre. Moult médecins furent amenés à son chevet, mais la cause de cette chaleur intense était un mystère. Les analyses restaient muettes de toute indication utile, et les médicaments inefficaces. A seulement quatre ans, Jill fut emportée… Le mal qui était en elle depuis presque trois semaines l’avait épuisée à tel point que même respirer paraissait être impossible. Ce fut à cette occasion que la famille rencontra son premier et cuisant échec. La douleur et les pleurs retentissaient sans cesse. Ce fut à cette occasion que Brennan se referma sur lui-même, comme il l’avait apprit. Afin de se protéger ? Possible. Lui qui n’avait jamais connu ni la perte ni le vide se retrouvait démuni à tel point que toute sa personne en fut affectée. D’après ses parents, ce fut à partir de ce jour qu’il se retrouva encore plus solitaire, plus renfermé et plus studieux qu’il ne l’était avant.

Avec cet événement, qui aurait pu croire que cette famille jouissait d'une grande réputation au sein de la capitale et qu’elle faisait partie des plus importantes du Connecticut ? Le père de Brennan étant le maire de la grande ville depuis ses treize ans (un poste qu'il occupe encore d'ailleurs), il n’arrivait que de moins en moins à supporter ce gros plan sur eux. D'autant plus que son mal être est resté profond… En plus de la perte de celle qu’il appelait sa petite perle, Brennan a peu d'ami(e)s, il sort peu et préfère étudier. Son admission dans une université de la Ivy League comme Brown fut inespéré pour lui, lui donnant l'occasion de quitter enfin sa ville natale et d'aller dans une ville encore plus grande pour étudier. Il partit donc vivre pour Providence. Etudiant depuis qautre ans en médecine, Brennan mène une vie tranquille, préférant se montrer discret possible. Seulement, ça ne risque pas de durer bien longtemps.

Ton caractère ; « Les apparences sont parfois trompeuses. »
Pas cette fois-ci. Tout comme sa personne le laisse deviner, Brennan est une personne calme et posée. Le stress et l’inquiétude ne l’atteignent que très rarement, tout comme la colère ou la haine. Sentiment qu’il n’a d’ailleurs jamais ressenti en lui, malgré les très nombreuses occasions. Ayant apprit tôt à savoir se contrôler, il est très dur de pousser le jeune homme à bout. Son visage impassible ne laisse que très rarement apercevoir ses sentiments, ou ce qu’il ressent, même dans une situation extrême. Il garde souvent tout pour lui qu'il soit bien ou mal, car il ne donne pas sa confiance à n'importe qui par peur d'être blessé, ou déçu. C’est sûrement pour cela qu’il n’a que très peu d’amis. Il est vrai que vous ne le verrez pas sourire pour un rien ou même sauter de joie pour une bonne nouvelle mais cela veut simplement dire que ce n'est pas une personne expressive. Ne pas afficher ses sentiments ne veut pas dire qu’il ne pense rien. Il reste un être humain !
Il n'est d’ailleurs pas le genre de garçons à sortir tous les soirs, à faire la fête à outrance et à parler de lui avec excès. Pas surprenant n’est-ce pas ? C’est d'ailleurs tout juste si on le remarque. La timidité n’est pas présente chez lui, on pourrait plutôt appeler ça de… La préservation, on va dire. Il ne parle que s’il a quelque chose d’intéressant à dire, sinon il se tait. A quoi bon parler si au bout la conversation ne débouche sur rien de concret, d’intelligent ? Puis en quoi raconter son passé à une personne rencontrée en soirée va l’aider à avancer dans la vie ? Brennan préfère donc se concentrer sur ses études, et se donner un maximum dans le but de devenir médecin. C'est quelqu'un d'intelligent, un peu coincé aussi, il faut bien l'avouer. Mais ce côté un peu innocent le rend très craquant, même s’il n’en est pas conscient. Dans son adolescence, il n’est sorti que très rarement avec des filles. Celles-ci préféraient sans doute un petit ami avec un caractère opposé au sien ? Du genre macho, bavard, drôle, populaire, ect ? Il n’en savait trop rien, et puis il ne s’était jamais vraiment intéressé aux filles… Il était quelque peu gêné, dans le passé, de s’avouer que lorsqu’il sortait dans la rue, ou rarement en soirée, c’était plus les garçons qu’il regardait. Sa mère n’aurait pas été contre, mais l’éducation qu’il avait reçue de son père l’amenait à avoir peur de ce penchant, à presque se dégoûter. Pouvait-il vraiment être un homme s’il était horriblement attiré par d’autres hommes ? Il en a douté pendant très longtemps. Puis avec le temps, on finit par s’assumer, par mieux se comprendre soi-même et son corps.

J'aime ; D’abord et contre tout, notre jeune homme est un passionné des livres. J’ai dit les livres, hein, donc tout ce qui rentre dans la catégorie mangas, bandes dessinées, et autre est à ignorer. Il pourrait passer des journées entières assit confortablement dans un fauteuil, ses lunettes sur le bout du nez, un livre entre les mains. Surtout si le bouquin en question en signé Guillaume Musso. Il ne sait pourquoi ses livres à lui en particulier, mais chaque ligne parcourue du regard lui procure des frissons de plaisir incontrôlables. Le style, l’écriture, la façon de dérouler les choses… Peut-être que ce sont ces trois choses là qui font de lui un passionné du romancier. Toutes les œuvres de Marc Lévy sont également présentes dans sa bibliothèque personnelle. Même si son fanatisme est beaucoup moins marqué que pour le précédent, il ouvre les romans de bon cœur.
Une deuxième chose qu’il aime, et qui a été dis précédent : les œuvres de bienfaisances. C’est sans hésiter et avec un immense plaisir qu’il se porte bénévole, ou qu’il accepte de faire partie de telle ou telle œuvre. Il aurait bien un projet… Enfin une envie, pour plus tard. Bien sûr il y pense, mais il devra attendre d’avoir fini ses études, d’avoir son propre cabinet avec sa propre clientèle pour mettre cette pensée en œuvre. Pour le moment, le secret reste entier…

J'aime pas ; La première chose qu’il n’aime pas est tout ce qui se révèle trop contraire à ses principes, et à lui. Les personnes qui ne travaillent pas, par exemple, et qui de surcroît ne pensent qu’à faire la fête sont sûres d’être mal vues au premier abord par Brennan. Cette catégorie concentre bien évidemment toutes les personnes égoïstes, imbues d’elles-même, narcissiques, hautaines, et il en passe. Je suis d’accord, ça fait beaucoup de monde mis à l’écart… Et il est bien connu que la première impression est souvent la meilleure. Mais c’est une phrase de plus avec laquelle il n’est absolument pas d’accord. Et heureusement pour les autres – et pour lui aussi -, il n’est pas réticent à approfondir sa connaissance de l’autre, écartant les points négatifs.

Merci!

Dave !

Heum ... Je me reprends ... BIENVENUE !
Me faudra absolument un lien =P

Merci & avec plaisir!

Merci beaucoup miss!

Merci à toi Jenny.

[SUITE]

ET COMMENT SUIS JE;

Ta description physique ; Brennan est un homme comme tous les autres, avec rien de plus et rien de moins si ce n'est qu'on a tous une part d'originalité en soit, la petite chose qui fait de vous que vous n'êtes pas comme tout le monde. Notre bonhomme a les cheveux châtain foncé assez long la plupart du temps, du moins assez pour pouvoir se les coiffer avec un peu de gel. Ses sourcils ne sont pas aussi épais que sur certains hommes bien évidemment ils sont de la même couleur que ses cheveux. N’ayant presque jamais d’expression clair sur son visage, il ne convoque ses sourcils que lorsqu’il est pleinement concentré, ou réellement ennuyé. Quand aux yeux de notre jeune homme, ils sont de la même couleur que ses cheveux, d’un brun foncé. Bien que dépourvu de toute humeur, on peut voir clairement que l’intelligence les habite. Et lorsqu’on le connaît bien, il n’est pas difficile de capter quelques bribes de ses sentiments à travers eux. Lorsqu’il est contrarié, ceux-ci prennent une sorte de nuance noire, qui lui obscurcit le regard. Puis lorsqu’il est heureux, on peut apercevoir qu’ils brillent légèrement. Voici maintenant la petite originalité de Duncan : son sourire ! C’est sûrement la partie la plus importante constituant son charme. Avec ses fossettes, bien sûr. Ses lèvres sont fines et courtes, et lorsqu’elles s’ouvrent ce n’est que pour dire quelque chose d’utile, ou de raisonné. Bien entendu, elles peuvent s’étirer en un sourire. Mais sans être conscient de ce énorme atout qui pourrait faire craquer n’importe qui, il n’utilise le sourire qu’avec les personnes avec qui il se sent lui-même. Le jeune homme a un menton fin et qui n'est pas du tout imposant, il n'a pas cette fameuse fossette au creux de son menton, celle-ci ayant préférée se poser sur ses joues. Sa mâchoire est de forme ovale qui lui affine son visage et il lui convient parfaitement. Puis bon, pourquoi aurait-il à se plaindre de son physique ? Brennan a des oreilles tout à fait normales, elles ne sont pas décollées et le plus important, elles entendent parfaitement bien. Passons maintenant au corps de notre cher M.Christians. N’étant pas vraiment un sportif en soi, il compense cela en allant faire régulièrement un footing, ou de la musculation. Ayant aussi hérité de la carrure de son père, il n’a pas besoin de trop forcé sur le nombre d’heures qu’il passe à jouer au sportif. Il a des épaules carrées, un corps fin mais résistant, qui cependant est bien dessiné. Cela par contre il le sait. Morphologiquement, il mesure 1m87 pour 73 kilos ce qui est tout à fait bon pour lui. Au pire s’il prend un ou deux kilos, quelle importance ? Enfin, pour terminé, Brennan n'a pas une pilosité élevée ce qui se révèle très utile puisque grâce à sa, il n'est pas obligé de se rasé deux fois par semaine.

Je préfère ;

Vivre d'amour et d'eau fraiche ou d'amour et de débauche ;
Etre beau/Belle mais bête ou Moche et intelligent ;
Harry Potter ou Twilight ;
Les films ou les livres ;

ET C'EST FINIT;

Surnom / Pseudo : Colcoy`
Age : 16 ans
Comment as tu trouvé le forum : Par Carlee.
Et qu'en penses tu : Le design est vraiment superbe <33
Exemple de rp :

Spoiler:

Code du réglement : I love you darliing you know

Merci Ashlyn. ^^

Je crois que j'ai fini.